Le Potelier fait partie de la galaxie "Nos Pilifs" et adhère à sa charte. "Nos Pilifs" est l’anagramme de Mme Filipson, fondatrice des associations. Celles-ci se sont créées successivement pour répondre aux besoins de la personne avec un handicap alors qu’elle chemine dans la vie. Aujourd'hui, il existe 8 - et prochainement 9 – associations "Pilifs".
École spécialisée, Centre de réadaptation (CRA) et Accueil extra-scolaire pour enfants autistes.
Directrices: Mmes Hélène Wastiaux (école) et Isabelle Préaux (centre de réadaptation)
Av des Pagodes 212 - 1020 Bruxelles | 02 268 03 71
Entreprise de travail adapté.
Directeur: Mr Benoît Ceysens
Trassersweg 347 - 1120 Bruxelles | 02 262 11 06
Service d'accompagnement, Logements accompagnés, Club de loisirs et Ateliers de préparation à la retraite.
Directeur: Mr Nabih Abboud
Place Peter Benoît 3 - 1120 Bruxelles | 02 268 62 23
École secondaire pour jeunes avec autisme.
Directrices: Mmes Véronique Didier (école) et Nathalie Dieu (paramédical)
Rue de Heembeek 127- 1120 Bruxelles | 0488 91 25 92
Veillent au maintien de l'esprit de la fondatrice des asbl Pilifs tout en évoluant avec les avancées de la médecine, de la pédagogie et des technologies.
Présidente : Mme Nandy Mahieu
Av des Pagodes 212 - 1020 Bruxelles | 02 268 61 08
Logement collectif adapté.
Directrice: Mme Caroline Deharre
Rue du Wimpelberg 188 - 1120 Bruxelles | 02 264 98 50
Le nouveau projet des Pilifs, Les Piloux est une crèche inclusive, permettant à chacun de trouver sa place, de s'épanouir et de s'ouvrir à l'autre... Vous pouvez les soutenir!
Contact: Céline Pawlowski | 02 268 62 23
L’enfant, la femme, l’homme, l’individu handicapé seul compte, quelles que soient sa langue, ses origines, ses convictions politiques, philosophiques et religieuses et celles de ses proches.
Lourd ou léger, le handicap est un drame et personne ne peut en être accusé.
Les personnes handicapées et leurs familles doivent être guidées, aidées et non jugées ou rejetées.
La différence est un droit. Sans chercher à l’effacer ou à amener tout le monde à notre « normalité », il faut la faire accepter en priorité par l’individu handicapé et lui apprendre à vivre avec elle comme une partie de lui.
Vivre avec un manque, ne pas manquer de vivre. Quand un individu ne jouit pas de toutes les compétences possibles, aidons-le à utiliser et à développer au mieux celles qu’il possède sans l’amener à souffrir de celles qu’il n’atteindra jamais.
Il n’y a pas de mystère, on ne peut respecter et aimer que ceux que l’on connaît. Nous ouvrons nos portes à l’extérieur et invitons les familles, étudiants, travailleurs sociaux, représentants des pouvoirs publics à vivre un moment parmi nous pour qu’ils puissent à leur tour accueillir la personne handicapée.